Dans l’ombre des grands discours diplomatiques et des justifications géopolitiques, un crime abject se déroule sous les yeux d’un monde trop souvent silencieux. Israël, État autoproclamé démocratique et soutenu par les puissances occidentales, commet des atrocités qui dépassent l’entendement humain. Des enfants affamés, encerclés, terrorisés, sont délibérément pris pour cible et massacrés par une armée suréquipée, fanatisée et soutenue par une idéologie colonialiste et raciste. Ce n’est pas une guerre, c’est un génocide en direct, une boucherie organisée qui suscite, à juste titre, une haine grandissante envers Israël à travers le monde.
Gaza, ce territoire à ciel ouvert, transformé en prison géante par le blocus inhumain imposé par Israël depuis des années, est le théâtre d’une souffrance inimaginable. Les enfants, ces innocents qui devraient jouer, apprendre et rêver, sont aujourd’hui les premières victimes de la barbarie sioniste. Affamés par des sièges illégaux, privés d’eau, de médicaments et de nourriture, ils errent dans les décombres de leurs maisons détruites par les bombardements israéliens.
Mais pire encore, des témoignages accablants révèlent que ces enfants sont sciemment pris pour cible. Des snipers israéliens, postés en hauteur, tirent sur des gamins qui osent s’approcher des zones de distribution d’aide humanitaire. Des bébés meurent de faim dans les bras de leurs mères impuissantes, tandis que les soldats israéliens bloquent l’acheminement du lait et des vivres. Comment ne pas ressentir une colère brûlante face à une telle cruauté ? Comment ne pas vomir devant l’indifférence des médias occidentaux qui minimisent ou justifient ces crimes ?
Israël ne cache même plus son mépris pour la vie des Palestiniens. Les déclarations de certains de ses dirigeants, comparant les Gazaouis à des « animaux », justifiant les massacres comme une nécessité militaire, révèlent une idéologie profondément raciste. Les enfants palestiniens ne sont pas considérés comme des êtres humains aux yeux de cette machine de guerre, mais comme des dommages collatéraux, voire des cibles légitimes dans leur logique de terreur.
L’ONU, pourtant souvent timorée, a documenté des cas où des écoles et des hôpitaux ont été délibérément bombardés. Des familles entières sont effacées de la carte en un instant, sous les bombes américaines larguées par les F-16 israéliens. Et que fait la communauté internationale ? Elle se contente de vagues déclarations de « préoccupation », tandis que les États-Unis et l’Europe continuent d’armer et de financer cette machine à tuer.
Face à cette barbarie, il n’est pas étonnant que l’indignation mondiale monte. Les images d’enfants déchiquetés, de mères hurlant de douleur devant les corps de leurs petits, circulent malgré la censure des grands médias. Et partout, des millions de gens, qu’ils soient Arabes, Africains, Asiatiques, Européens ou Américains, ressentent la même nausée devant l’inhumanité d’Israël.
Les réseaux sociaux regorgent de témoignages de personnes qui, autrefois neutres, déclarent aujourd’hui leur dégoût pour cet État qui se comporte comme une entité fasciste. Les manifestations pro-palestiniennes se multiplient, et même dans les pays occidentaux, traditionnellement alignés sur Israël, des voix s’élèvent pour dénoncer ce régime d’apartheid.
Israël est en train de perdre la bataille de l’opinion publique, non pas à cause d’une prétendue « propagande », mais parce que ses crimes sont trop visibles, trop monstrueux pour être ignorés. Le monde voit, le monde sait, et le monde commence à haïr ceux qui ordonnent et exécutent ces massacres.
Les défenseurs d’Israël brandissent toujours la carte de l’antisémitisme pour étouffer toute critique. Mais aujourd’hui, les gens ne sont pas dupes. On peut distinguer entre le judaïsme, religion respectable, et le sionisme, idéologie colonialiste et criminelle. Ce n’est pas de la haine contre les Juifs que de dénoncer un État qui assassine des enfants.
L’Occident, qui pleure les victimes de guerres lointaines quand cela l’arrange, ferme les yeux sur les crimes israéliens. Pire, il les finance. Les milliards de dollars d’aide militaire américaine servent à acheter les bombes qui tuent les enfants de Gaza. La complicité est directe, et l’histoire jugera sévèrement ces nations qui ont choisi le camp des bourreaux.
Le monde regarde. Et le monde n’oubliera pas.
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